Camus, Le Maître de la Glace

Bon alors que dire… Je m’appelle Domino, 26 ans ( mais plus toutes mes dents ). J’ai été traîné de force sur ce forum par tata Théna !!! Je déconne, elle m’a juste dit que mon chevalier préféré était libre alors me voilà. J’espère être à la hauteur de ce personnage, et pouvoir l’incarner parmi vous. Niveau RP, ça fait maintenant 2 ans 1/2 que j'en fait sur différent univers... j'ai incarné pas mal de perso différent ( concernant SS, j'ai interprêté Isaac, Dohko et dernièrement Poséidon )

Camus, Le Maître de la Glace Camuseg5

Nom : Camus
Age : 20 ans
Sexe : masculin
Constellation : Chevalier d’Or du Verseau

Tout commence une vingtaine d’années plutôt, dans le Sud de la France. Dans une demeure spacieuse, et paisible, Camus grandissait sereinement au sein d’une famille bourgeoise, descendante d’anciens aristocrates ; l’éducation du jeune homme l’amenait vers une voie tracée d’avance, pour laquelle son avis et ses envies ne comptaient pas. Habitué à ne jamais exprimer ses sentiments, et à afficher une apparence noble et digne en toutes circonstances, l’enfant était déjà une personne froide et hautaine pour la plus grande peine de sa mère… Mais les choses étaient ainsi. Afin de célébrer le dixième anniversaire de leur fils unique, les parents de Camus prirent la décision d’organiser un voyage en Sibérie ; ce choix fut fait après l’expression d’un léger intérêt pour cette région de la part de l’enfant. C’est ainsi que le périple fut préparé et décidé. Le mois suivant, la petite famille posait le pied en Russie, plus précisément dans une région reculée au Nord de la Sibérie ; pour la première fois, l’expression d’un sentiment de bonheur s’afficha sur le visage du jeune garçon. A cet instant, les bras de sa mère vinrent enlacer ce dernier.

_ « Je suis heureuse de voir que ça te fait plaisir… j’avais tellement peur que tu sois déçu. »
_ « … merci beaucoup… c’est magnifique. Est-ce qu’on pourra faire du traîneau ? »

Le regard azur de Camus se posa sur sa mère, la suppliant d’accepter, ce qu’elle fit dans la seconde. Les jours suivant se déroulèrent au rythme des promenades, et jeux proposés par le jeune enfant ; ce dernier montrait pour la première fois les signes d’un enfant « normal », en extériorisant ses sentiments et sa joie… Malheureusement, ce bonheur ne pouvait durer éternellement, et la roue du destin se mit en marche. Lors d’une randonnée, Camus entendit comme un appel lointain, mais pourtant bien audible ; ce n’était pas une voix mais plutôt un sentiment étrange, et incontrôlable. Quittant le groupe en toute hâte, l’enfant se dirigea vers un glacier où se dessinait une crevasse créant ainsi un passage. Continuant son chemin, ignorant les appels de ses parents tentant de suivre leur fils, devenu étonnement agile et rapide, le futur chevalier d’or tomba au pieds d’une montagne d’un blanc immaculé… Un peu en hauteur, au bout d’un sentir tortueux, une lumière dorée et aveuglante attira l’attention de l’intrépide explorateur. Comme tout enfant curieux, il se dirigea vers cette lumière.

Arrivée à destination, Camus put enfin découvrir la source de cette lumière ; il s’agissait d’une boîte, couleur or, posée sur un socle de glace attendant patiemment une chose. Des dessins étaient visibles sur les côtés de celle-ci, dessinant ce que l’enfant reconnu comme le symbole zodiacal du Verseau. D’abords apeuré, puis intrigué, le jeune garçon approcha une main tremblante vers cet objet fascinant, d’où semblait provenir l’appel qu’il ressentait depuis maintenant quelques minutes. Au moment où le doigt frôla la boîte, une sensation étrange envahit l’enfant, comme si quelque chose en lui venait de se réveiller ; une secousse suivit ce phénomène, et Camus se retrouva projeter dans la neige, dévalant la pente avant d’atterrir dans les bras de ses parents enfin parvenu sur place. Suivant les cris effrayés de sa mère, un craquement résonna et une avalanche se déclencha… balayant tout sur son passage. De peur, le jeune garçon ferma les yeux et lorsqu’il les ouvrit, un spectacle étrange s’offrit à lui ; un mur de glace était dessiné autour de lui, et l’avait protégé.

Après quelques instants d’émerveillement, le rescapé se mit en quête de ses parents. Ces derniers n’avaient pas été protégé par cette étrange muraille, et furent emporté par l’avalanche ; impuissant devant cette force prodigieuse, le couple était mort… Tombant à genou, Camus ne réussit pas à pleurer, et resta immobile durant un long moment. Le sortant de sa torpeur, une homme posa sa main sur son épaule ; le visage de ce dernier fut réconfortant et rassurant. Hagard et perdu, l’enfant exécuta tous les ordres que lui donna cet étranger.
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Quelques jours plus tard, Camus revint sur les lieux de l’accident ; les glaces et le vent empêchaient tout départ. Ses parent avaient été enterré dans le cimetière local, et durant l’enterrement, l’enfant n’esquissa aucune larme ni aucune expression de tristesse… malgré la souffrance qui l’envahissait. L’histoire que raconta ce dernier au personne l’interrogeant n’entraîna que mot de réconfort et incompréhension ; la boîte dorée ne semblait à leurs yeux qu’une invention pour refouler sa tristesse, pourtant il le savait qu’elle existait réellement. Afin de comprendre ce qui s’était passé, le jeune garçon retournait régulièrement à la recherche de celle-ci. Malheureusement, la crevasse dans la glace avait totalement disparu. Lassé de ces déplacements inutiles, un violent coup fut donné par le frêle voyageur dans le mur de glace ; la douleur le fit se tordre sur le sol, mais elle ne dura pas car un bruit vint captiver toute son attention. Le passage s’était ouvert à nouveau.

Hésitant, Camus s’engouffra dans celui-ci, et retrouva la montagne assassine ainsi que cette boîte mystérieuse, toujours à la même place. La vision du corps sans vie de ses parents entraîna à nouveau l’enfant dans une torpeur… Et ce fut encore une main sur son épaule qui le ramena à la réalité, le même homme que cette fois là se tenait aux côtés du jeune garçon.

_ « Je t’attendais mon enfant… Nous avons peu de temps, et tant de travail à accomplir »

Dubitatif, l’intéressé porta un regard ébahi sur les paroles énigmatique de cet étranger ; un rire bruyant arriva comme réponse à cette expression. S’asseyant à même la neige, l’homme démarra un récit pour le moins étrange… Il parla de la déesse Athéna, de chevalier en armure, de guerre sainte… Et de tout un tas d’autres choses que Camus mit du temps à assimiler, et surtout à comprendre. Même si le sérieux du narrateur ne laissait planer aucun doute, le récit semblait plutôt sortie d’une fable, que de faits historiques. Afin de prouver ses dires, le compteur se releva et enleva la fourrure recouvrant une grande partie de son corps, dévoilant alors une armure d’argent… Le futur chevalier fit encore une expression qui amusa son interlocuteur, et toucha la protection avec crainte et respect. Ainsi l’histoire était vrai, une guerre se déroulait tous les 200 ans entre Athéna et des ennemis souhaitant conquérir la terre pour mettre fin à l’existence des hommes. Faisant face à son futur élève, le chevalier d’argent leva les yeux vers l’armure d’or et reprit la parole.

_ « Une armure semblable à la mienne se trouve dans cette urne, mais celle-ci est bien plus puissante et résistante que la mienne. Elle représente le plus haut rang des protecteurs d’Athéna. Mon garçon, l’armure d’Or du Verseau t’a choisi… La mort de tes parents est un accident tragique, mais elle est malheureusement le point de départ de ta destinée. Beaucoup de personne furent appelées, mais aucune n’avait réussi à libérer le pouvoir contenu dans l’urne avant toi. Le monde, et Athéna ont besoin de la puissance enfouie en toi… Si tu acceptes ta destinée, je t’entraînerais et t’apprendrais ce que je sais afin de te préparer au combat à venir. Mais attention, cette voix est difficile et remplit d’obligation et de souffrance ; je te laisse deux jours pour faire ton choix, je t’attendrais ici jusqu’à la tombée de la nuit, si tu ne viens pas, je prendrais cela pour un refus »

Sur ces mots, l’homme adressa un sourire bienveillant à l’enfant, lui frotta le sommet du crâne et repartit sans ajouter aucune autre parole. Abasourdi par toute ses révélations, Camus resta quelques instants immobile, sous le choc de ses révélations… Ce fut le froid qui ramena le penseur à la réalité, la nuit était tombé depuis longtemps ; les deux protagonistes avaient discuté toute la journée. Plongé dans ses pensées, partagé entre l’incompréhension, la peine et la curiosité, le jeune garçon retourna à son lieu d’habitation, où son retour fut accompagné de cri de soulagement des villageois, inquiet de son sort vu la situation.

A la tombée de la nuit, deux jours après cette discussion, le chevalier d’argent quittait le lieu du repos de l’armure d’or du Verseau ; la déception était lisible sur son visage. Lorsqu’il quitta la crevasse, son regard se posa sur le jeune garçon frigorifié, la tête penchée vers le bas et immobile. Camus leva alors doucement la tête, et fixa son interlocuteur ; une détermination incroyable était lisible dans le regard azur de celui-ci, ainsi qu’une grande fatigue. D’une voix assurée, et froide, le garçon prit la parole.

_ « Très bien, puisque c’est mon destin, je l’accepte… J’accomplirais mon devoir avec détermination, et dévotion. »

Ce fut au tour de l’étranger d’afficher un visage remplit de surprise, il ne s’attendait pas à une acceptation aussi assurée de la part de son futur élève. L’attitude froide et calme du jeune garçon étonna autant qu’elle intéressa le chevalier d’argent… Durant ces deux jours, Camus avait à peine dormi et mangé ; des pensées contradictoires se bousculaient dans son esprit, et avait plongé le jeune garçon dans un monde d’adulte, où sa décision déciderait de son avenir. Pour la première fois, l’enfant devait choisir par lui-même sans qu’on lui impose un choix… A présent, sans ascendant, il se retrouvait seul au monde, sans but ni raison de vivre ; cet homme étrange lui apportait tout ce qui pousse un être humain à avancer et vivre sa vie. Malgré tout le choix ne fut pas facile, ses parents avaient inculqué le sens du devoir et des obligations à l’enfant malgré son age.

Devant cette détermination, le vieux combattant démarra l’entraînement immédiatement. La première chose qu’il devait apprendre à l’enfant, c’était l’existence et la puissance du cosmos dormant dans son être. La fatigue extrême du jeune garçon allait grandement aidé à cette découverte. Le ton du professeur se fit dur et imposant lorsqu’il ordonna à l’enfant de se tenir bien droit, dans le froid et tenaillé par la faim ; il démarra alors son discours sur la force enfouie dans chaque être vivant, la connexion avec sa constellation et tout un tas de chose encore incompréhensible et mystérieuse pour le disciple. Pourtant, le futur chevalier tint bon… et une aura bleutée commença à l’entourer petit à petit dégageant une chaleur réconfortante et nourricière dans le corps affaibli de l’élève. Tout chose entrant en contact avec cette dernière se transformait en glace instantanément… expliquant le mur de protection lors de l’avalanche. Il fallut malgré tout pratiquement une journée complète pour découvrir cela, et deux semaines de plus pour en comprendre les mécanismes ; ce temps était extrêmement court, dans la mesure où comme tout chevalier d’or, Camus était un génie du combat et de l’apprentissage.

Une fois cette première étape passée, l’entraînement continua sur une note plus stricte ; la rudesse et la discipline inculquée par celui-ci rendit au jeune garçon cette attitude hautaine et froide de son enfance, finalement, le côté chaleureux et joyeux n’avait été qu’un rêve dans la vie du futur chevalier d’or. Malgré la difficulté, l’élève se plia à toutes les demandes, tous les exercices mis en place par son maître ; son assiduité et son sérieux lui permirent de progresser rapidement dans la voie de la maîtrise de la glace. Des heures passées en plein blizzard par des températures glacières… des exercices répétitifs et épuisant physiquement et mentalement… Tout ceci ne fut qu’amusement et jeu comparé à la dernière étape de l’entraînement du jeune chevalier : l’accession au 7ème sens. Pour cette partie, le chevalier d’argent n’était d’aucune aide ; le jeune garçon devait trouver la réponse en lui, et faire confiance à son cosmos pour le guider sur le chemin de la puissance des chevaliers d’or. En deux ans, à l’aube de cet apprentissage, Camus était devenu un adolescent, au corps bâti pour le combat dont la puissance dépassée de loin celle de son professeur ; il arborait déjà l’attitude noble et digne d’un chevalier d’or, accompagnant son austérité et sa froideur habituelle, imposant le respect dès le premier regard.

Comment atteindre l’ultime cosmos ? Cette question occupa l’esprit du disciple de nombreuses heures, et de nombreuses nuits. La réponse ne pouvait être trouvée que par lui-même, et aucun guide ne pouvait lui indiquer le chemin de ce dernier ; des journées entièrement d’entraînement et de dépassement de soi ne permirent pas d’atteindre ce stade de connaissance. Ce fut une réflexion de son professeur qui lui donna une idée…

_ « Le 7ème sens… Malheureusement, je ne peux pas t’en dire grand-chose ; je n’ai jamais été capable de l’atteindre, il n’est accessible qu’à quelques élus et aux chevalier d’or. C’est la quête d’une vie pour certains chevaliers. Les seules informations dont je dispose sont celles-ci : on raconte que c’est un stade de puissance qui permet d’accomplir des miracles, de dépasser ses propres limites et de combattre même lorsque l’on a épuisé toutes ressources et toutes forces. »

_ « Epuisé toutes forces et toutes ressources… épuisé toutes forces et toutes res… »

Sans même terminer sa phrase, Camus sortit en courant de la petite maisonnette, où les deux compères logeaient depuis le début de l’entraînement. Pendant deux jours, le jeune élève utilisa sans relâche chaque parcelle d’énergie et de volonté qu’il possédait ; son maître fut abasourdi par la résistance et la volonté dont il fit preuve, mais surtout par le fait qu’aucune émotion ni aucun doute ne se lisait sur le visage du jeune garçon… Après avoir épuisé totalement son énergie, le disciple sombra peu à peu dans l’inconscience pourtant son entraînement continua malgré lui ; au moment où le doute et l’incertitude le gagna, son aura reprit de sa vigueur et révéla un éclat jamais atteint jusqu’à présent. L’énergie qui affluait dans le corps épuisé et meurtri du futur chevalier était puissante et chaude, mais surtout bien plus naturelle que tout ce qu’avait connu son propriétaire jusqu’à présent. S’émerveillant de cette découverte, sous le regard ravi et remplit de fierté de son maître, une aura dorée entoura l’adolescent… Surpris, celui-ci leva les yeux et ses pupilles se posèrent sur l’armure d’Or du Verseau éveillée totalement par le cosmos de celui qu’elle avait choisi ; elle était en harmonie parfaite avec ce dernier, et recouvrit son nouveau propriétaire.

L’heure du départ avait sonné, à présent deux jours s’étaient écoulés depuis l’acquisition de l’armure d’Or ; Camus devait à présent rejoindre son temple, et accomplir son devoir. Il le savait depuis le moment où il avait revêtu son armure, l’adolescent était prêt à tout donner pour accomplir son devoir ; quel qu’en soit le prix, il ne s’accorderait aucune trahison ni aucune faiblesse. C’est ainsi qu’il concevait son devoir et son rôle, le chevalier allait devenir le glacier éternel du sanctuaire : froid, dur et résistant infranchissable à moins de posséder une volonté capable de briser celle du gardien à l’armure du Verseau. La route vers le Sanctuaire fut sans encombre, il y avait bien longtemps que l’adolescent n’avait vu un autre paysage que les steppes sibériennes, et les glaciers… Parfaitement décrit par son maître, le nouveau chevalier d’Or gagna rapidement sa destination. Entrant dans le sanctuaire, des gardes vinrent à sa rencontre pour le stopper ; sans dire un mot, le jeune garçon présenta l’urne de l’armure d’or et observa leur réaction. Même sans cet objet, les soldats semblaient méfiant face à cet enfant au calme impressionnant et au regard glaçant.

Ainsi escorté, Camus fut conduit vers le chemin du temple de la déesse, au pied de la maison du chevalier d’Or du Bélier ; une grande majorité des maisons était encore vide, l’éveil des chevaliers d’Or était proche mais leur arrivée était répartie sur un laps de temps assez vaste. Son premier devoir fut de gravir cet escalier, passer les maisons une à une et se présenter devant la réincarnation de la déesse et le grand Pope. Chaque passage de maison, dont le gardien était présent, réservait son lot de surprise, soit une simple discussion suffisait, soit un petit test était proposé… Ce fut le premier contact de Camus avec ses futurs compagnons. Finalement le chevalier gagna sa demeure, il y resta un long moment afin de s’habituer au lieu et déposer le peu de possession qu’il avait ; une fois dans sa demeure, pour la première fois depuis son arrivé, Camus revêtit son armure qui inonda de son aura la maison du Verseau. Puis il reprit son chemin vers le temple. Arrivé à destination, le chevalier d’or posa un genou au sol, et se présenta.

_ « Je m’appelle Camus, Chevalier d’Or du Verseau. Je suis venu me présenter, et prêter allégeance et loyauté auprès de la déesse et de vous-même son représentant »

Le français venait de s’adresser au grand pope sur un ton solennel et respectueux. Alors qu’il fixait le sol attendant un signal pour se redresser, une aura puissante et bienveillante fit son apparition dans la pièce ; une voix douce et féminine ordonna au jeune chevalier de se relever, la réincarnation de la déesse était présente dans la pièce, et faisait face à son nouveau protecteur. C’était encore une enfant, plus jeune que Camus en tout cas. Le regard azuré du chevalier se posa avec douceur et bienveillance sur cette enfant, auprès de qui il renouvela son allégeance… Le grand Pope interrompit la discussion pour rappeler une obligation à la jeune femme, et ordonna au chevalier de prendre possession de son temple, et de le garder au péril de sa vie. S’excusant, Camus sortit de la pièce rapidement, et rejoignit son temple…

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Bon voilà ma fiche est terminée, j'espère que cela vous plaira... je suis à votre disposition pour toute modification ou explication si besoin. Bonne lecture...

Personnellement, j'ai adoré. Ta manière d'écrire est magnifique, je ne me suis pas ennuyé du début à la fin.
Le pire? Tu m'as rendu un peu d'inspiration, ca me donne même envie de réécrire ma fiche quand j'aurai le temps XD
Bravo en tout cas, et bienvenue

Bienvenue parmi nous Domino pour ma par je valide ton personnage en attendent mes collègue ,belle histoire par contre pour ton entrainement j'aurais pensée que tu l'aurais fait seul car un chevalier d'or n'a pas de formateur il est celui qui forme les chevaliers d'argent ,mais ce n'est que mon humble avis sur ton histoire que je trouve très bien malgré ce petit léger détail.^^

Bienvenue parmi nous belle histoire je valide ton personnage aussi amuse toi bien sur le forum et bon Rp

Merci à vous trois pour cet accueil... et vos compliments, j'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire et je suis ravi qu'elle plaise.

Pour le détail, Appolon, je te le concède... c'est juste que l'inspiration m'est venu ainsi ^^

Bienvenue camus, j'ai hate de poster avec toi.

Eh bien ce sera avec plaisir... d'ailleurs si une personne a besoin de compagnie pour me mettre le pieds à l'étrier, je suis totalement disponible.

Très bonne histoire et bienvenu parmis nous le glaçon!!!! bientot en rp j'espere!

Quelle bonne histoire ! Bienvenue parmi nous et à bientot en Rp, j'espère !

bienveue et bravo pour ton personnage

Merci beaucoup... je suis ravi d'avoir obtenu Camus.

Ce sera un plaisir de RP avec vous lorsque l'occasion se présentera...