Aioros, Chevalier d'or du Sagittaire

1°) Bonjour je m’appelle Guillaume et j’ai 22ans, j’habite dans le nord de la France, je suis un ami de Thomas, le fondateur de ce forum. D’ailleurs c’est grâce à lui que j’ai découvert ce forum RP. Au sujet de
mon expérience Rp, elle n’est pas bien grande vu que ne RP depuis quelques mois seulement, où j’ai joué les rôles de Persée, Vishnu, Irvine Kinneas dans différents forums.

2°) Concernant votre personnage, donnez les informations suivantes :

Nom : Aioros
Age : 20ans
Sexe : Masculin
Constellation/Ecaille/Etoile : Armure d’or du Sagittaire

1ère étape : Votre enfance.

Grèce - Sanctuaire

30 novembre, voici ma date de naissance, rien avant ne m’aurait prédit une vie aussi palpitante. Vous qui êtes là, écoutez mon histoire elle risque d’être assez intéressante pour vous qui voulez me connaître.

Nous sommes donc en Grèce, un 30 novembre là où j’ouvris les yeux pour la première fois et poussai mon premier hurlement. Je suis né dans un petit village au pied du sanctuaire abritant les différents temples des chevaliers d’or, invisibles aux yeux des simples mortels, est ce un hasard ou le destin, je ne saurais dire. A cette époque, comme tout nourrisson j’étais chétif et je ne pensais à rien juste à manger, ainsi mes parents me donnèrent le prénom d’Aioros, apparemment cela vient du nom du dieu du vent Eole, mais je ne suis pas sûr. Ainsi avant de devenir un chevalier d’or j’ai eu une enfance plutôt heureuse et on ne peut plus simple. Je vivais avec mes parents dans le même petit village qui me fit voir le jour, j’aidais mon père dans toute tache familiale et dans les taches viriles. Malgré mon jeune âge, mon père me disait toujours que j’étais rempli de courage et que dans toutes les situations il sera toujours fier de moi. Tout le village m’enviait et chaque père de famille aurait voulu avoir un fils tel que moi pour aider le patriarche familial à faire les travaux de laboure ou je ne sais quelle tache à accomplir. Après chaque journée, mon père m’entraîna aux arts martiaux antiques afin de découvrir vraiment la vraie âme d’un homme comme il le disait si bien, doué d’une force et d’une vitesse exceptionnelle, je ne mis pas longtemps pour surpasser mon père et ainsi devenir l’enfant le plus fort du village.

Quelques années plus tard, le 16 août pour être plus précis, ma mère mis au monde un deuxième enfant qu’elle nomma Aiora, en hommage à mon fort potentiel physique et à mon courage, espérant ainsi avoir deux fils capables de rivaliser avec les plus grands de ce monde. Elle ne pensait pas du tout que l’on deviendrait tous des chevaliers d’or…

Les années passèrent et j’atteignais mes 10ans, âge de raison dans le village où chaque enfant devait partir loin du village faire le tour du pays et devenir un homme. C’était la nuit et tout le village était réuni autour d’un feu pour fêter mon anniversaire et le
début de mon long voyage pour devenir vraiment un des leurs, un homme courageux et fort qui pourra travailler la terre et fondait une famille par la suite.
Tous était joyeux de me voir partir mais ma mère, comme toute maman aimante était un peu triste et douter de me voir revenir.

*Et si il lui arrivait quelque chose pendant le voyage, il n’a pas besoin de prouver sa force et son courage aux yeux du village, alors pourquoi ?* pensa t’elle.

Ainsi mon père se tenait à l’entrée du village avec un baluchon et ma mère était derrière qui essayait de retenir ses gros sanglots.
Il s’approcha de moi et me tendit le petit paquetage et me serra dans mes bras.

Sache mon fils que je serais toujours fier de toi, si il t’arrivait quelque chose sache que nous penserons toujours fort à toi. Mais je n’ai pas besoin de m’inquiéter, je sais que tu deviendras quelqu’un, un homme puissant et courageux.

Merci papa, ne t’inquiètes pas je reviendrai, je te le
promets.

Je regardai ma mère et la serra dans mes bras puis je quittai le village sans me retournai vers une destination qui m’était pour l’instant inconnue. L’horizon devint ma seule destination, à la recherche de n’importe quoi ou n’importe qui pouvant m’aider dans ma tumultueuse traversée de la Grèce.

2ème étape : Votre formation.

Grèce – Lieu inconnu

Après quelques semaines d’errance, je voyageai toujours en suivant l’astre solaire, je ne savais pas du tout où j’allai, l’horizon étant ma seule destination. Je traversai de nombreux villages où je m’arrêtai pour m’octroyer quelques heures de repos bien mérité dans le civilisé et non en pleine nature en proie à tous les dangers. Un jour alors que je traversai la grande ville de Thèbes, je m’arrêtai pour me reposer un peu, tout était surdimensionné là-bas et rien ne me faisait penser à Rodorio.

Pendant que je visitai la ville, et que je foulai les rues nappées d’un marbre blanc étincelant, les gens me regardaient d’un air de dégoût mais surtout de méfiance, je n’avais pas ma place ici. Le mal du pays commença à me gagner et j’aspirai à rentrer où une vie de labeur m’attendait mais au moins j’étais avec les miens, alors je ne pouvais qu’être heureux. Je m’apprêtai à partir quand j’aperçu une vieille dame voilée, je ne sais pas pourquoi, mais elle m’attirait, sans aucune hésitation je la suivis mais en restant bien entendu sur mes gardes. Elle s’enfonça dans une ruelle bien sombre où il n’y avait pas de marbre, juste des pavés. Aucune lumière n’arrivait à transpercer les épais murs de cette petite ruelle afin de l’illuminer. Puis elle commença à me parler.

Jeune homme plein de courage, tu m’as suivi sans hésiter dans l’antre des enfers, tu n’es pas un gamin comme les autres. Mais que fais tu dans cette immense ville où tu n’as pas ta place ?

Je suis en pèlerinage vieille femme, je dois faire le tour du Pays et revenir dans mon petit village afin de prouver que je suis un homme. C’est pour ça que je suis de passage dans cette ville où je n’ai pas ma place comme tu l’as dit si bien.

Elle se retourna et je vis alors son visage malgré l’obscurité de la ruelle, à croire que son visage pouvait illuminer un petit lieu pendant quelques temps. Sa peau était toute ridée et montrait là une certaine expérience de la vie. Ses cheveux étaient voilés d’une épaisse pièce de tissu elle –même noire ainsi que ses vêtements étaient déchirés, tels des guenilles qu’elle porterait depuis qu’elle est née. Pourtant son vieil âge, cette femme se déplaçait encore très bien, mais portait quand même une canne de bois tordue taillée il y a récemment dans une grosse branche de bois. Mais le principal trait qui m’interpella c’est que cette femme était aveugle.

*Mais qui est cette femme, comment peut-elle se déplacer comme ça en étant aveugle*

Je sais ce que tu penses, tu te demandes comment je peux marcher aussi bien tout en étant privé d’un sens aussi important. Inutile de te cacher plus longtemps des choses que tu dois savoir
mon cher Aioros.

Comment est ce possible ?

Je suis un ancien oracle, je tiens mes pouvoirs des dieux, j’ai échangé mes yeux de mortel pour avoir des yeux divins pouvant voir dans le futur et dans le cœur des gens. Quand je t’ai vu pour la première fois, cher jeune homme, j’ai su que tu étais différent c’est pour cela que je t’ai amené jusqu’ici. Pour ton bien, je ne te dirai pas ton futur, sauf que tu es amené à faire de grandes choses et à sauver des vies.
Maintenant écoute moi bien : continue comme ça, prends la direction du soleil couchant à la sortie de la ville et d’ici peu de temps ton voyage initiatique touchera à sa fin et ta vie te sera révélée. Retourne toi et affronte ton avenir, Rodorio est tout près.

N’adressant aucun mot à la vieille femme, je me retournai et partit aussi vite que possible loin de cette allée baignant dans les ténèbres. A la sortie de la ville, je me mis en marche alors vers le soleil couchant. Pendant tout ce temps je triturai mes méninges pour savoir ce que voulait dire cette prémonition, et pourtant…Plus le temps passait, plus je me posai des questions :

*Et si j’avais eu tort de suivre ces directives, et si j’aurai mieux fait de suivre mon instinct, il est vrai qu’elle m’a parlé des dieux mais lesquels. Aucun dieu, ne vivrait dans une ruelle aussi sordide et aussi ténébreuse, elle m’a bien dit que c’était l’antre des Enfers…*

Autant de questions qui restèrent sans réponses. La nuit tombée, je mis en place un petit bivouac et fis un feu afin de garder une source de lumière et éloigner les animaux sauvages. Soudain un cri aigu et persan cassa le calme monotone de la nuit. Je me mis en marche dans la direction de ce cri pour me retrouver à l’extrémité d’une falaise, à laquelle une jeune fille était accrochée mais était sur le point de tomber dans le vide. Elle me supplia de l’aider, je cherchai tout autour de moi de quoi fabriquer une corde, car le temps que je retourne chercher la mienne il serait trop tard. Je pris alors une liane et je lui jetai, la petite fille s’accrocha et je l’hissai de toutes mes forces jusqu'à ce qu’elle soit en sureté.

C’était une très jeune fille à peine une dizaine d’année, elle était habillé d’une toge de soie blanche et portait des sandalettes, à croire que cette fille venait de la ville. Elle avait un visage radieux d’un teint blanc et des yeux très bleu, en parfait contraste avec le visage de la vieille femme de la ruelle. Je n’en pouvais plus, j’étais exténué et pourtant je trouvai la force de porter la jeune fille et de la ramener près du feu afin qu’elle puisse se nourrir et l’hydrater.

Après un bon repas, je lui proposai de dormir dans ma tente et moi je resterai là, à surveiller si rien ne troublerait son sommeil. Elle se leva et fit non de la tête, un large sourire se dessina sur son visage et un halo de lumière apparu autour d’elle. La jeune fille se transforma alors en la vieille femme de la ruelle.

Comment est ce possible ? Lui demandai-je

Elle ne disait rien tout en me regardant elle prit une nouvelle forme beaucoup plus connue que les deux autres plus mortelles. Il s’agissait de la déesse Athéna.

Je m’agenouillai à l’instant où son enveloppe charnelle apparut. D’un geste de la main elle me fit signe de me relever. Puis elle se mit à me parler

Cher Aioros, ton voyage initiatique est maintenant accompli, tu as passé avec brillot la dernière épreuve. Tu as suivi les sages conseils de cette vieille femme, malgré que tu ne la connaisses pas, tu as marché jusque cette forêt dans la direction du soleil couchant et tu as aussi sauvé une vie d’une fin terrible, et pas
n’importe laquelle, ma vie. Viens avec moi.

Un escalier de lumière se dessina et dès que je mis un pied dessus, je fus téléporter à Rodorio, mais pas au sein même du village, sur la colline abritant les chevaliers d’or. En face de moi était posté un énorme cube d’or de la taille d’un homme très bien taillé et dont les dessins relevaient de l’exploit pour sa minutie et sa précision.

Aioros, dès cet instant tu seras le chevalier du Sagittaire, tu seras un chevalier d’or, tu as montré ta bravoure et j’en suis fière. Je te donne la mission de veiller sur ton temple et de réduire à néant les forces du mal. Je sais que tu y arriveras, car n’oublie pas ce que je t’ai dit dans la ruelle. Tu es amené à faire de grandes choses. Une chose seulement, je voudrais que tu gardes secret auprès de ta famille, le fait que tu sois devenu un chevalier d’or. Il en va de la survie de Rodorio.

Puis elle disparut.

Désemparé par les récents évènements, mais animé par une fierté et une joie inouïe, je m’avançai vers le cube d’or qui devait sans doute abriter la dite armure. Au contact de ma main, la boite de Pandore s’ouvrit et l’armure se dévoila, elle était si brillante qu’elle illuminait le temple tout entier dans la nuit. Puis elle se désarticula et se mit sur mon corps. Une sensation de toute puissance m’envahit et je découvrais peu à peu mes nouveaux pouvoirs.

*Je devrais faire mon entraînement en autodidacte, ainsi Athéna sera fière de moi*

Ainsi commença ma lutte contre les forces du mal.

3ème étape : Votre entraînement.

Grèce – Temple du Sagittaire

Voici quelques jours qu’Athéna m’a remis mon armure d’or du Sagittaire, j’étais très fier mais au fond de moi j’avais un sentiment d’inachevé. Je m’étais dit de faire mon entrainement en autodidacte, que cela aller m’apporter plus, mais je me trompai, l’armure pesait son poids et je n’arrivai plus à me déplacer comme avant, certes ma force avait augmenté, mais ma vitesse fut quasiment diminuée de moitié. Un sentiment d’inachevé et donc de frustration commença à envahir mes pensées.

*Pourquoi moi. Peut –être c’est elle trompé de personne. Je ne suis qu’un pauvre paysan qui n’était pas destiné à une vie comme celle –ci.*

Une femme, une maison, un carré pour cultiver la terre, voilà qui devait être mon avenir, un avenir sans histoires.

A bout de force chaque jour, je m’écroulai sans avoir véritablement avancé dans mon entraînement. Les jours passaient et se ressemblaient malgré ma plus grande volonté.

Un jour, où ma démotivation atteignait son summum, la déesse Athéna apparut devant moi, toujours habillée d’un halo de lumière, son corps flottait dans les airs. Après quelques secondes de silence, où nos regards se croisèrent sans véritablement se regarder, puis elle entama la conversation.

Eh bien mon cher Aioros, aurais tu perdu foi en mon jugement ?

Je ne sais pas déesse, tout me paraît si compliqué, je me sens totalement inutile, c’est vrai que cela fait cinq jours que tu m’as remis cette armure mais as-tu vraiment fait le bon choix.

Oh que oui, Puis elle me tendit la main, viens chevalier d’or, je vais m’occuper moi-même de ton entraînement, tu seras le plus puissant des chevaliers.

Sur ces mots, je pris sa main et nous nous téléportâmes dans un monde où il n’y avait rien. Tout autour de moi était blanc, il n’y avait aucune forme qui se distinguait à l’horizon. Rien de tout ça ne m’était familier, l’endroit était à la fois mystique mais à la fois terrifiant, il n’y avait ici aucune forme vivante, pas un bruit, rien. En face de moi il y avait Athéna, mais cette fois, elle n’était plus dans sa robe comme dans toutes ces apparitions, elle était en armure, prête au combat.

Nous voici dans le terrain d’entraînement des dieux, il est situé entre la terre et les cieux, tu n’es ni en contact avec les cieux ni avec la terre. Une sorte de dimension parallèle qui permet de maintenir l’énergie colossale que peuvent dégager les dieux.

Nous allons commencer ton entraînement par la chose que tout chevalier possède : Le Cosmos. Sans ça tu ne pourras attaquer et sans ça tu ne pourras survivre. Pendant ces quelques jours tu as dû remarquer que tu pouvais sentir de chaque homme, femme, objet qui t’entouraient, eh bien c’est cela le cosmos. Assis toi et essaie de faire apparaitre une boule de cosmos entre tes mains en te concentrant, quand tu réussiras cela voudra dire que tu seras prêt à apprendre les techniques de ton armure d’or.

Assis dans la position du lotus, je me concentrai pour ainsi faire apparaître une boule d’énergie. Ceci exigeait une concentration extrême, mais aussi une union parfaite avec son armure. Pendant longtemps je me concentrai, mais rien à faire. Athéna était là, statique devant moi, sans bouger un cil elle attendait que je réussisse, cela me prit du temps, je pensais que l’éternité était passé avant que je réussisse à matérialiser mon énergie.

C’était une boule d’énergie, qui apparut entre mes mains, elle était d’une couleur dorée, elle était brillante et éblouissante. A ce moment là, j’étais tellement heureux que je ne savais plus quoi dire, à bout de force, je m’écroulai au pied d’Athéna, mais curieusement je ne sentais pas la fatigue, c’était comme si l’instinct m’avait poussé à m’écrouler pensant à l’effort que je venais de faire.

Allons relève toi, dans ce monde personne ne ressent la fatigue, cela permet de faire un entrainement rigoureux et d’atteindre un cosmos et une puissance inégalée. Je vais t’enseigner ta première attaque, elle s’appelle Atomic Thurderbolt, elle te permettra d’envoyer grâce à ton poing des milliers de flèches à une vitesse explosive. Elle te coutera selon la puissance de son attaque jusqu'à 30% de ton cosmos. Nous allons travailler ta puissance. Vas-y entraine toi.

A ce moment là elle fit apparaître un mur d’une dimension totalement inhumaine. Je compris tout de suite qu’il fallait le détruire grâce à cette attaque. Ainsi je me mis à l’œuvre immédiatement, je me concentrai afin de lancer mon attaque. Je lançai ma première attaque ne faisant presqu’aucun dégât au mur, a part ça et là des fissures. Il fallait que mon attaque soit beaucoup plus puissante, elle devait sortir de l’intérieur de moi-même, de ma fureur intérieure. Au bout du 9^e essai, le mur vola en morceau. Athéna, toujours impassible, se leva et prit la parole :

Très bien tu maîtrises cette attaque, maintenant que tu as brisé ce mur.

Mais Déesse il m’a fallu neuf essais pour détruire ce mur, je ne peux pas dire que je maîtrise la puissance de cette attaque.

Faux, je l’ai conçu pour que tu ne puisses pas le briser avant le dixième essai, et tu as fait mieux que ça, c’est une preuve suffisante à mes yeux que tu maitrises la puissance.

Bien maintenant, je vais t’apprendre le vol, cela permet de t’envoler pour esquiver une attaque, il suffit que tu te concentres pour devenir aussi léger que l’air, cela te coutera 10% de ton cosmos.

Aussitôt sa phrase terminée, je m’attelai à la tache et avec une incroyable aisance je pris la voie des airs mais pour un bref instant. Me sentant plus léger que l’air et à la fois plus rapide que la lumière, je fonçais sur les jarres qu’Athéna faisait apparaitre au grès de ses envies et pour augmenter ma précision et la puissance de cette simple attaque déguisée.

Bien chevalier je vois que tu commences à te familiariser avec ton armure, as-tu remarqué quelques chose que tu as appris la technique du vol ?

Il me semble que je sois plus rapide, maintenant mon armure me semble aussi légère qu’une plume.

Exact, ce qui va beaucoup t’aider maintenant. Pour les deux derniers pouvoirs, tu vas utiliser ton arc. Je vais d’abord te faire travailler ta précision, essaie de détruire ceci avec tes flèches d’or.

Athéna fit apparaître des cibles fixes, puis mouvantes. Etant donné que j’étais fils de paysan, je devais chasser le cerf avec mon arc pour ramener de la viande à ma famille. Ainsi je réussissais facilement à les toucher, malgré la distance, il me fut simple de mettre toutes les flèches dans le mille.

Impressionnant, alors voici tes deux derniers pouvoirs, il s’agit de la flèche de justice, qui est une attaque surpuissante causant à ton ennemi de gros dégâts, elle te coutera malheureusement 40% de ton cosmos, alors utilise la avec parcimonie. Et enfin la grande flèche te permet d’immobiliser ton adversaire pendant un tour, elle te coutera 30% de ton cosmos.

Tout en l’écoutant je continuai mon entraînement à l’arc permettant de m’améliorer encore plus et de détruire maintenant les cibles et donc de plus me contenter à les mettre dans le mille.

La dernière chose que je vais t’initier Aioros est la capacité spéciale de ta constellation, lors de tes combats tu pourras te servir de ton arc pas uniquement pour lancer des flèches mais tu pourras frapper ton adversaire avec, ne t’inquiètes pas il est indestructible. Malheureusement comme cette arme représente la justice, tu devras veiller sur le chevalier de la Balance car sans lui tu ne pourras pas utiliser ce pouvoir.

Je t’ai tout appris, retournons dans ta maison maintenant.

Dans un torrent d’énergie, je perdis connaissance, je me réveillai, enveloppé de ma toge, étendu dans le temple du sagittaire. Tant de souvenirs et pourtant je ne savais pas si c’était la vérité, beaucoup de choses voyagèrent dans mon esprit, je me rappelai de l’entraînement de la déesse, dans ce lieu tout blanc, là où la fatigue était inconnue.

*Mais était-ce vraiment la vérité ?*

Il n’y avait pas d’autres moyens de savoir, je m’approchai de mon armure et la revêtit, une force hors du commun se répandit dans mon corps, et mon armure était aussi légère que l’air. Cette preuve me suffit à croire en ce qui s’était passé, que ce soit dans la réalité où dans mon esprit.
Je m’avançai hors de mon temple et regardai les nuages en direction de l’Olympe où je suis sûr Athéna me contemplait.

Merci Déesse, je jure à partir d’aujourd’hui de te servir jusqu'à ma mort.

A la minute où j’avais terminé cette allégance, un signe ne me trompa pas, le visage d’Athéna se dessina parmi les nuages avec un sourire signifiant la fierté de celle-ci. Je le savais tout au fond de moi, elle sera toujours là pour moi.

Bienvenu sur Saint Seiya Résurrection Guillaume je te valide donc en tant que chevalier d'or du Sagittaire je te souhaite de bon Rp et surtout amuse toi bien parmi nous Wink

oui bienvenue on va pouvoir passer au chose sérieuse bon allez amuse toi bien ici

bienvenue parmi nous chevalier d'or du sagittaire

Désolé du retard, sois le bienvenu parmi nous, future proie Very Happy